Le leadership au féminin
Bonjour à tous
Dans une perspective à la fois historique et ancrée dans l’actualité, qu’elles soient présidentes d’associations de quartier, écrivaines, médecins, avocates, ménagères, le degré d’engagement des femmes présentées ici pourra servir d’exemple aux autres femmes qui hésitent encore à se prendre en main.
Je vous propose donc de découvrir tout au long de cette année via mon « basango-ya-brazza.blog4erver.com » des femmes de tous les jours qui réussissent ce qu'elles font et qui y croient, des parcours uniques, des projets pleins d’espoir, des réussites assumées, bref des portraits de femmes qui prennent leur vie en main.
Voici donc le parcours exceptionnel et les succès stories de quelques unes d’entre elles que nous vous trouverez prochainement à basango-ya-brazza.blog4erver.com
Babeth Mulumba (USA)
« Love with all your heart »,
Pasteur, militante des droits de femmes, agent de
Dédé Makoni (France)
« Donner le sourire à un enfant ne doit être un simple rêve, mais une réalité »
Améliorer la qualité de vie de la femme et de l’enfant tel est le leitmotiv de Dédé Makoni, la quarantaine, qui parcours le monde avec Ameg- Asssociation, une ONG qui a pour but d’améliorer la qualité de soin des enfants de la Guinée.« Donner du sourire à un enfant ne doit être un simple rêve, mais une réalité » tel est le credo de cette épouse et mère qui a fait du bien être de la femme et de l’enfant son cheval de bataille. Rencontre avec une femme exceptionnelle dont le mérite n’est plus à illustrer puisque ses actions à caractère sociales participent au développement de son pays.
Doctrovée Bantsimba artiste peintre (Congo Brazzaville)
« Parler de ma souffrance et celle des autres m’a aidé à apaiser ma douleur»
Bien que son talent soit encore peu perceptible, Doctrovée, la vingtaine se distingue des jeunes de sa génération par rapport à la thématique de sa palette mais aussi et surtout à la maturité de ses œuvres. Doctrovée commence à peintre suite à une injection de Quinimax (traitement de paludisme) qui occasionne chez la jeune fille une immobilité de ses membres inferieurs durant une année. Une période qui la tourmente. Et pour apaiser sa souffrance, elle se met à la peinture, un passe temps salutaire puisque celui-ci lui a permis de s’accrocher à la vie. Son œuvre bâtie essentiellement sur ses tourments, ceux des autres, est un réel cri d’alarme à l’égard des personnes vivant avec un handicape.
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